Vous êtes confiants que vous êtes solidement appuyé par la législation des Droits Humains de l’Ontario, donc vous n’hésiterez pas à mettre vos affiches à jour. Soyez fier de compromettre les espaces féminins de notre part. Parce qu’inclusion.

Il n’y a aucune méthode pratique ou théorique pour distinguer entre les hommes qui ont des revendications de genre sincères, et des hommes qui ont des revendications de genre opportunistes. Si un homme est permis dans un espace pour femmes, cet espace cesse d’être non mixte, et devient un espace mixte. La motivation de l’homme pour entrer dans l’espace n’a aucune signification – sa présence rend l’espace mixte.

« Un grand nombre de femmes canadiennes refusent de se soumettre à la demande d’accepter les hommes dans nos lieux avec docilité et grâce. » — Une femme canadienne concernée

C’était leur chance de dire enfin tout haut ce que beaucoup n’osent dire — à quelqu’un qui pourrait réellement être motivé à agir.

Un récapitulatif de « Reality-Based Women Unite 2025 » de caWsbar avec la publication en prime du discours complet de Ghislaine Gendron.

Un rapport parallèle présenté à l’ONU explique comment le Canada contrevient à la CEDEF et à notre Charte des droits et libertés.

Quant à la manière dont les femmes devraient être définies, le gouvernement reste confus.

Pour ceux d’entre nous qui croient encore à la science et à la biologie, l’Impératrice n’a pas de vêtements.